BIZARRE BIZARRE
Il faut bien vous donner un peu des nouvelles de ma «visite» à la gendarmerie. Et oui il l'a fait ( lui et son conseil municipal), mais pas certain que cela soit une bonne affaire pour l'élu et son conseil.
Avant cela une petite remarque pour ses messieurs et dames du conseil dans la rubrique présentation (2 ème ligne dans le menu)de notre site voilà ce que ses messieurs dames pourraient lire:
Présentation
Collectif de citoyens s'interrogeant sur le fonctionnement de la commune,son histoire et le bien être de ses habitants
Mais la plainte a été nominative et ce sur mon nom.Mais cela n'est pas grave car tout au long de ma vie j'ai toujours assumé mes actes (Ce qui n'est pas le cas de tout le monde) Alors dans cet article vous verrez des «je» et des «nous» qui font référence au collectif, merci.
Calme et serein je fait face à cette situation digne d'un caprice de cour d'école. «Monsieur, Monsieur il m'a critiqué moi et mes petits camarades», MAIS SURTOUT DE LEUR PART DUE AU NON RESPECT DE LA LOI FRANCAISE. Il est évident qu’étant des hommes publiques la critique fait partie de leur fonction.S'ils ne voulaient pas qu'on les critique, il ne fallait pas se présenter à cette élection , il en est de même pour leur «1er de cordée».
La première remarque que j'ai fait est de savoir pourquoi pendant 5 ans il n'a rien dit et que d'un coup en quelques semaines cela devenait intolérable.Une approche de réponse verra le jour en fin l'audition.
Ayant comme règle de vie la vérité c'est avec facilité que j'ai répondu à toutes les questions.Pourquoi ce site??Pour une information des concitoyens que «notre élu» ne fait pas. J'ai parlé de mon droit de le dire ,de l'écrire et de le publier, droit garanti par la constitution comme nous l'avons déjà écrit ainsi que du discours du 28 juillet 2020 de Monsieur le Ministre de L’intérieur qui demande aux maires (il est évident que cela concerne aussi le conseil municipal)de respecter ce droit.
Bien que très confiant dans la suite de cette affaire je ne donnerais pas le nom des dossiers dont nous avons parlé à part qu'ils sont les plus représentatifs et au nombre de 8. Vous qui nous suivez depuis longtemps vous savez desquels je parle.Dires ,qui ont bien sur été retranscrit sur le procès verbale pour Monsieur le procureur de la république. Bon allez un petit pour la route ,les 2 ans ½ d'attente pour avoir les chiffres de la commune, comme l'élu a les même lettres que moi il lui sera bien difficile de dire le contraire.
Ayant put m’exprimer librement j'ai bien sur donné beaucoup de détail, des tenants aux aboutissants.Nous voilà au bout de cet audition , juste une dernière question!! Avez vous parlé de pot de vin?? et la j’éclate de rire .Bien sur que non!! je n'ai jamais écrit pot de vin , je n'ai jamais fait allusion à des pots de vin, je n'ai jamais laissé sous entendre qu'il y avait des pots de vin le plus simple etant donc pour vous de relire mes articles.Et puis et puis jamais ses mots là seraient passé à la correction,et , de ma part cela aurait été une stupidité sans nom d'écrire cela.
Ces pots de vin dont je n'ai jamais parlé faisaient référence au petit relais.Mais pourquoi avoir eu besoin de dire cela à la gendarmerie alors qu'il est si facile de prouver que c'est faux si se n'est pour nuire le plus possible à mon intégrité. De plus entre 600 et 700 personnes ont lu les articles et savent que cela est faux.Une personne que cela a bien fait rire m'a dit que l'élu venait de se tirer une balle dans le pied et que cela était excellent pour nous bien que l'on n'en ai pas besoin
Comme ces dire font référence au petit relais et bien évidemment à l' A D M R je fait donc le rapprochement avec tous les événements qui me sont arrivés depuis le premier article sur le sujet.
1er article:voir l'article «insultes et agressions» colère noire d'un conseiller municipal ,agression verbale très violente,coup de point sur la table , menaces «il y a des baffes qui se perdent» « je vais lui casser la gueule» et cela devant 60 témoins.Simplement pour un article qui ne parlait que de généralités.
2 ème article: voir article «le petit relais»: pour celui là toujours de la part de la même personne une dénonciation à notre site pour diffamation. Même un homme de loi n'a pas trouvé un mot diffamatoire.Réponse par notre article «fausse accusation»
3 ème article «conflits d’intérêts» et là tout s’accélère, c'est intolérable de critiquer le travail de la mairie et du maire ,le conseil faisant fi de la loi et de la constitution vote pour la plainte
Par hasard en voulant être au plus prêt de l'info serions nous tombé sur le sujet à ne pas traiter??
Si c'est le cas pourquoi??
Que veux t'on nous cacher??
Y aurait il des choses que nous pauvres citoyens ne devrions pas savoir???
Pourquoi alors cet acharnement à vouloir nous faire taire???
Pourquoi ce dossier dérange tant???
Ne dit on pas que toujours la vérité tôt ou tard sort de son puit????
Alors sur ce dossier devrons nous être vigilants,devrons nous tous être très vigilants????
Directement ou indirectement bien sur les menaces et les calomnies iront bon train sur ma personne mais que vont finir par penser les citoyens de notre village de l'attitude de ce conseil?????
conseil municipal
ou est le rempart de vos consciences??
"Ensemble, défendons la Liberté : lettre ouverte à nos concitoyens"
Après la réédition dans le journal satirique Charlie Hebdo des caricatures de Mahomet, en plein début du procès des attentats de janvier 2015 à Paris, et les nouvelles menaces de morts qui ont suivi, les médias lancent un véritable cri d'alerte, jugeant la liberté d'expression menacée. Une adresse solennelle aux Français.A l'initiative de Riss, le dessinateur et patron de Charlie Hebdo, ce texte a été signé par plusieures dizaines de quotidiens, de médias audiovisuels - dont Radio France. Et il est publié conjointement, en ligne et dans les éditions imprimées.
Le texte de l'appel
"Il n’est jamais arrivé que des médias, qui défendent souvent des points de vue divergents et dont le manifeste n’est pas la forme usuelle d’expression, décident ensemble de s’adresser à leurs publics et à leurs concitoyens d’une manière aussi solennelle.
Si nous le faisons, c’est parce qu’il nous a paru crucial de vous alerter au sujet d’une des valeurs les plus fondamentales de notre démocratie: votre liberté d’expression.
Aujourd’hui, en 2020, certains d’entre vous sont menacés de mort sur les réseaux sociaux quand ils exposent des opinions singulières. Des médias sont ouvertement désignés comme cibles par des organisations terroristes internationales. Des États exercent des pressions sur des journalistes français "coupables" d'avoir publié des articles critiques.
La violence des mots s’est peu à peu transformée en violence physique.
Ces cinq dernières années, des femmes et des hommes de notre pays ont été assassinés par des fanatiques, en raison de leurs origines ou de leurs opinions. Des journalistes et des dessinateurs ont été exécutés pour qu’ils cessent à tout jamais d’écrire et de dessiner librement.
"Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi", proclame l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, intégrée à notre Constitution. Cet article est immédiatement complété par le suivant : "La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi."
Pourtant, c’est tout l’édifice juridique élaboré pendant plus de deux siècles pour protéger votre liberté d’expression qui est attaqué, comme jamais depuis soixante-quinze ans. Et cette fois par des idéologies totalitaires nouvelles, prétendant parfois s’inspirer de textes religieux.
Bien sûr, nous attendons des pouvoirs publics qu’ils déploient les moyens policiers nécessaires pour assurer la défense de ces libertés et qu’ils condamnent fermement les États qui violent les traités garants de vos droits. Mais nous redoutons que la crainte légitime de la mort n’étende son emprise et n’étouffe inexorablement les derniers esprits libres.
Que restera-t-il alors de ce dont les rédacteurs de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 avaient rêvé? Ces libertés nous sont tellement naturelles qu’il nous arrive d’oublier le privilège et le confort qu’elles constituent pour chacun d’entre nous. Elles sont comme l’air que l’on respire et cet air se raréfie. Pour être dignes de nos ancêtres qui les ont arrachées et de ce qu’ils nous ont transmis, nous devons prendre la résolution de ne plus rien céder à ces idéologies mortifères.
Les lois de notre pays offrent à chacun d’entre vous un cadre qui vous autorise à parler, écrire et dessiner comme dans peu d’autres endroits dans le monde. Il n’appartient qu’à vous de vous en emparer. Oui, vous avez le droit d’exprimer vos opinions et de critiquer celles des autres, qu’elles soient politiques, philosophiques ou religieuses pourvu que cela reste dans les limites fixées par la loi. Rappelons ici, en solidarité avec Charlie Hebdo, qui a payé sa liberté du sang de ses collaborateurs, qu’en France, le délit de blasphème n’existe pas. Certains d’entre nous sont croyants et peuvent naturellement être choqués par le blasphème. Pour autant ils s’associent sans réserve à notre démarche. Parce qu’en défendant la liberté de blasphémer, ce n’est pas le blasphème que nous défendons mais la liberté.
Nous avons besoin de vous. De votre mobilisation. Du rempart de vos consciences. Il faut que les ennemis de la liberté comprennent que nous sommes tous ensemble leurs adversaires résolus, quelles que soient par ailleurs nos différences d’opinions ou de croyances. Citoyens, élus locaux, responsables politiques, journalistes, militants de tous les partis et de toutes les associations, plus que jamais dans cette époque incertaine, nous devons réunir nos forces pour chasser la peur et faire triompher notre amour indestructible de la Liberté."
#Défendons La Liberté
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le 29 septembre2020