les ralentisseurs
Pour info
Les ralentisseurs
Bientôt la fin des ralentisseurs en France cet été ? Cette nouvelle décision qui va ravir les automobilistes
Excédé par les ralentisseurs ? Une décision récente pourrait mettre un terme à ce dispositif de sécurité qui flirte avec l'illégalité.
Excédé par les ralentisseurs ? Une décision récente pourrait mettre un terme à ce dispositif de sécurité qui flirte avec l'illégalité.
Depuis de nombreuses années, les ralentisseurs, aussi appelés “dos d’âne” ou encore “gendarmes couchés”, fleurissent partout sur nos routes. Installés pour réduire la vitesse des véhicules, ces équipements exaspèrent de plus en plus les automobilistes. Toutefois, cette tendance pourrait s’inverser. Certains sont même destinés à disparaître dans certaines villes. Explications.
À l’origine, les ralentisseurs étaient mis en place sur des routes dites à risque, comme aux abords des écoles ou des passages piétons, afin de forcer les conducteurs à lever le pied. Bien que leur utilité ne soit pas remise en cause, la multiplication de ces dispositifs est devenue problématique. La France en compte plus de 450 000. Il n’est pas rare de rouler sur plusieurs dos d’âne en l’espace de quelques mètres en ville. Mais bien au-delà du nombre, ce que les usagers déplorent, c’est l’inconfort de ces derniers. Un problème de conception peut-être ?
La plupart des ralentisseurs installés sur les routes françaises seraient illégaux
Pas tout à fait… Pour être exact, ce serait plutôt un problème de conformité à cause des quelques libertés prises par les municipalités. Ces dernières doivent en effet se baser sur le guide des coussins et plateaux du Cerema avant d’entreprendre les travaux. Cependant, les autorités auraient la mauvaise habitude de « jouer sur les différentes appellations pour contourner les exigences du décret », rapporte le magazine Auto Plus.
D’après Thierry Modolo, président de l’association Pour Une Mobilité Sûre et Durable, la situation est alarmante. La grande majorité des installations ne serait pas conforme aux cahiers des charges, ce qui les rendrait totalement illégales. Les directives sont pourtant très claires.
Le ralentisseur doit être présent sur une route limitée à 30 km/h et doit être signalé par un panneau.
PAS 10 METRES AVANT ET APRES MAIS TOUTE LA ROUTE .HORS LA ROUTE DES BOURGS EST LIMITEE À 50 KM HEURE
Celui-ci doit être implanté sur une route qui voit passer plus de 3 000 véhicules par jour.
IL EST PEU PROBABLE QUE CELA SOIT LE CAS PEUT ETRE PAR MOIS ET ENCORE MAIS PAS PAR JOUR
Dernière obligation : le dispositif doit être situé à plus de 40 mètres d’un virage et à plus de 25 mètres d’un pont.
HORS UN DES DEUX EST À L'ENTREE D'UN VIRAGE
voilà la question que je désirais poser avant que notre «maire» ne joue la Corée du nord.Bon comme il l'a dit,il avait pensé à tout, sauf à consulter la loi.Mais il est vrai qu'en tant que maire il sait tout et tel Dieu il est infaillible (tiens ce n'est pas le surnom que beaucoup de gens dans notre village,mais pas que,lui donne???). Pour ma part avant cette réunion j'ai consulté la loi.Et voilà encore de l'argent perdu par le super gestionnaire qu'il se dit être ce n'est pas mal non ????
Les actions en justice se multiplient pour faire respecter la réglementation. La décision du tribunal administratif de Toulon, qui a suivi celle de Marseille, montre une tendance à l'application stricte de la norme Afnor NF P 98-300.
Les communes sont désormais sur un pied d'alerte, avec des risques de sanctions financières et d'obligations de démontage pour les installations non conformes.
8 septembre 2024